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Le réseau professionnel de l’éclairage

En tant qu’acteur de la formation professionnelle en éclairage, le CFPE vous propose un nouvel espace dédié à l’emploi et aux stages sur son site Internet et ses réseaux.

Si vous souhaitez déposer gratuitement une offre d’emploi : emas@lux-editions.fr. Des offres ont été publiées en janvier, consultez-les sur https://www.e-afe.fr/offres-demploi-et-de-stage/.

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Validation des acquis en éclairage (VAE) et formations en ligne

En 2019, le Centre de Formation et de Perfectionnement en éclairage lance deux nouveaux services, complémentaires des formations « classiques ».

La validation des acquis en éclairage (VAE)

Obtenez la reconnaissance de vos compétences sans avoir à suivre de formation. Les diplômes du CFPE, délivrés par l’AFE, sont utilisés comme référence dans les offres d’emploi. En postulant à la validation des acquis en éclairage, vous bénéficiez ainsi de la plus haute reconnaissance de vos compétences dans le domaine professionnel.

La VAE sera lancée à la rentrée 2019. Si vous souhaitez recevoir directement les informations concernant la VAE : emas@lux-editions.fr

Les formations en ligne

97 % des recruteurs tiennent compte des « soft skills » dans leurs démarches de RH[1]. Ces compétences opérationnelles, complémentaires aux connaissances fondamentales de l’éclairage (formations « classiques »), le CFPE vous propose de les acquérir dans ses formations en ligne. Comment gagner du temps en répondant à un appel d’offres / une consultation ? Comment monter un dossier CEE efficacement ? Qui avez-vous le droit d’appeler lors de la réponse à un appel d’offres ?… Autant de compétences nécessaires tous les jours, pour vous et votre entreprise.

Format : 3 à 6 heures, en fonction du module interactif choisi.

Les avantages des formations en ligne

  • Vous pouvez suivre ces formations de chez vous ou de votre bureau, sans avoir à vous déplacer.
  • Le formateur est connecté en direct avec vous. Vous disposez d’un écran de travail commun (supports de cours) et pouvez lui poser des questions directement.
  • Le reste de la formation se déroule comme une formation « standard » :
  • Vous disposez des supports écrits
  • Vous pouvez contacter le formateur après la formation pour toute question complémentaire.

Dates : dès avril 2019. Vous souhaitez être informé de l’actualité des formations en ligne ? emas@lux-editions.fr.

Vous souhaitez organiser une session de formation en ligne ? Contactez Marie-Pierre Alexandre : mpalexandre@lux-editions.fr

[1] Courrier des cadres – Etude de Monster.fr. Décembre 2018

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Nouvelle identité et nouveaux pictogrammes pour vous CV !

En 2019, le Centre de Formation et de Perfectionnement en Eclairage change de look !

Ce nouveau logo symbolise, et acte, les évolutions des métiers de l’éclairage depuis ces dernières années : l’importance de répondre aux besoins humains pour bien voir et être vu (notion de danger et sécurité routière avec le triangle), l’évolution professionnelle et des compétences avec un passage piéton qui se colore au fur et à mesure que les stagiaires valident les différents niveaux…  Le triangle symbolise également la pyramide des savoirs et des besoins tandis que les clous du passage piéton symbolisent les différentes composantes de ces théories managériales.

Découvrez les pictogrammes à insérer sur vos CV :

Niveau Initiation à l’éclairage – 1er niveau

Pour qui ?
Pour tous ceux qui souhaitent appréhender les enjeux techniques et économiques de l’éclairage. Un prérequis pour accéder au 2e niveau.

Quelles compétences ?
Le stagiaire est capable de s’insérer dans une conversation professionnelle, de lire les articles et documents traitant d’éclairage et peut suivre une conférence sur le sujet.

Informations complémentaires
Cette formation est un stage « découverte » permettant aux nouveaux entrants dans le domaine de l’éclairage d’acquérir les notions de base nécessaires à une insertion réussie auprès des acteurs professionnels (vocabulaire, principales grandeurs et unités photométriques, sources, luminaires, composants, besoins visuels, normes et recommandations…).

 

Niveau Base en éclairage intérieur ou extérieur – 2e niveau

Vous êtes un l’interlocuteur commercial / la liaison dans les projets publics et/ou privés. 

Pour qui ?
Technico-commerciaux, techniciens territoriaux…

Pour quelles compétences ?
A l’issue du stage : le stagiaire est capable de réaliser des projets simples d’éclairage intérieur ou extérieur ainsi que de choisir un système d’éclairage techniquement et économiquement adapté au projet. Ses connaissances lui permettent de respecter toutes les normes et réglementations de sa spécialité (intérieur ou extérieur) ainsi que les besoins humains.

Informations complémentaires
Ce niveau de formation nécessite d’avoir les connaissances initiales en éclairage (voir le niveau initiation ou l’expérience professionnelle correspondante) ainsi que des connaissances en mathématiques.

 

Niveau Maîtrise en éclairage intérieur ou extérieur – 3e niveau

Vous êtes un l’interlocuteur technique dans les projets publics et/ou privés. 

Pour qui ?
Bureaux d’études, ingénieurs territoriaux…

Pour quelles compétences ?
Rédaction du cahier des charges, comparaison des solutions, réponses aux appels d’offres / consultations

Informations complémentaires
Ce stage s’adresse aux personnes ayant déjà maîtrisé les mécanismes et exigences d’un projet d’éclairage mais qui ne peuvent pas encore en gérer un. Ce stage propose d’acquérir les connaissances nécessaires à la conduite d’un projet du début à la fin.

A l’issue du stage : le stagiaire est capable d’établir des projets d’éclairage détaillés, des cahiers des charges et de réaliser des comparaisons de solutions en répondant à chacune des étapes.

 

Niveau Perfectionnement en éclairage – 4e niveau

Pour qui ?
Tous les professionnels souhaitant acquérir une spécialisation.

Pour quelles compétences ?
En fonction de la thématique choisie : réseaux, mises en lumière…

Informations complémentaires
Ce stage s’adresse aux personnes maîtrisant déjà les projets d’éclairage. Plusieurs thématiques sont proposées afin que le stagiaire puisse se créer son propre parcours.

 

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Nouvelles réglementations nuisances lumineuses : quels impacts sur les savoir-faire ?

C’est la question qui mobilise tous les acteurs économiques et sociaux de l’éclairage depuis début janvier. Car si les deux textes relatifs à la prévention et la réduction des nuisances lumineuses, parus au JO le 28 décembre 2018, entérinent des pratiques déjà appliquées de facto sur le terrain, d’autres règles d’éclairagisme sont chamboulées, ou semblent l’être, par ces arrêtés. Enfin, si les échéances fixées dans l’arrêté s’étalonnent pour la plupart à partir de 2020, certains appels d’offres ont d’ores et déjà anticipé les obligations et demandent dès aujourd’hui aux acteurs économiques de maîtriser les nouvelles règles. Et les questions soulevées par ces réglementations sont nombreuses, tant elles impactent les marchés de conception mais aussi de maintenance.

Concrètement, les répercussions de ces textes peuvent se regrouper en trois catégories :

–         Modification du jeu des acteurs, avec une organisation qui se porterait vers un échelon départemental et une modification de l’articulation réglementation / normalisation, cette dernière pouvant connaître une montée en puissance…

–         Conséquences pratiques : nouvelle dynamique des marchés d’audit pour l’année 2019, plans lumière prescriptifs, nouveaux cahiers des charges et de maintenance…

–         Conséquences financières : travaux obligatoires, nouveaux plans d’investissements…

Deux grandes préconisations qui concernent les compétences des professionnels

A la suite de la publication des arrêtés du 27 décembre 2018 relatifs aux nuisances lumineuses, le Conseil général de l’environnement et du développement durable (CGEDD) a rendu public le 18 janvier dernier, son rapport consacré à la pollution lumineuse, commandé par l’ancien ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot. Parmi les propositions de ce rapport, intitulé « À la reconquête de la nuit », deux propositions retiennent particulièrement l’attention en ce qui concerne les pratiques professionnelles :

–         « Faire de la normalisation technique le vecteur privilégié de diffusion de la prévention de la pollution lumineuse auprès des professionnels, d’autant qu’elle est intégrée dans les cahiers des charges des marchés d’opérations de rénovation »

–         Mettre en place des trames ainsi qu’un plan lumière adapté au contexte local pour les collectivités

Ces plans lumières et ces trames, les collectivités locales ont déjà commencé à les mettre en place. Si les grandes métropoles ont été les premières à les expérimenter (NDRL : 62 % des métropoles avaient élaboré ou travaillaient sur une trame sombre en 2017 selon le groupe AFE Métropoles), d’autres collectivités les mettent déjà en place. A noter, le rapport incite les petites collectivités à adhérer à un syndicat d’énergie, ne pouvant dégager les moyens financiers ou humains nécessaires.

Des recommandations qui questionnent les rôles actuels des différents interlocuteurs. Car ces trames demeurent encore difficiles à mettre en place à grande échelle, de par le découpage territorial et l’absence d’interlocuteurs dédiés et clairement identifiés. Des résultats qui pourraient bien changer si les préconisations du rapport sont suivies, puisque le document préconise un glissement vers l’échelon départemental ainsi que la constitution de référents, à l’échelon national comme territorial.

La question de norme NF EN 13201 et des calculs d’éclairage

Le document appelle à mettre fin à une France à deux vitesses en matière d’éclairage, en effaçant les incohérences entre les différentes réglementations mais aussi entre réglementation et normalisation. Une incohérence qui semble encore plus forte à la publication des arrêtés, dont les prescriptions en matière de densité surfacique de flux lumineux installé entrent parfois en désaccord avec la norme européenne NF 13201, qui fixe des valeurs minimales à maintenir en fonction de la classification des voies (usages) et de la période de la nuit.

Sur ce point, la volonté affichée de faire monter en puissance la normalisation est un signal positif envoyé par les auteurs du rapport du CGEDD. Dans les faits, les choses demeurent, pour le moment, encore en suspension. Reste que la norme NF EN 13201, pour sa plus grande partie, est encore applicable et demeure une référence.

Une accélération du marché à prévoir

En théorie, l’application de ces arrêtés devrait accélérer le marché de la rénovation de l’éclairage, qui stagne à 3 % par an depuis 2015. Car les impacts économiques des textes sont conséquents, notamment en ce qui concerne les températures de couleur et les audits d’éclairage, le prix de ce dernier variant entre 20 et 50 euros par point lumineux. Concrètement, les coûts porteront sur deux principaux postes :

–         Le surcoût financier des diagnostics obligatoires, plans d’investissements à revoir et modifications des marchés de maintenance

–         Les coûts de formation pour les agents territoriaux comme pour les acteurs économiques

Ces compétences pluridisciplinaires, les formations du CFPE, dont les contenus ont été mis à jour afin d’intégrer ces nouvelles méthodes et obligations, sont les seules à pouvoir vous les enseigner.

Référence dans les appels d’offres et offres d’emploi, les enseignements de l’AFE vous permettent de faire valoir votre compétence dans tous les projets que vous créez et que vous défendez.

Retrouvez les formations « Une conception efficace pour une gestion durable de l’éclairage extérieur », animée par le co-animateur du groupe AFE Collectivités, mais aussi les formations AFE sur les nouvelles méthodes liées aux arrêtés nuisances lumineuses sur le site Internet de e-AFE ou par mail : vjauson@afe-eclairage.fr

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IRVE sur l’éclairage public : le rôle clé de la norme NF C 17-200

Le ministère de la Transition écologique et solidaire et celui de l’Economie et des Finances diffusent un « Guide de préconisations pour l’installation de points de recharge pour véhicules électriques sur un dispositif d’éclairage public ».

L’occasion de rappeler que ces installations doivent répondre à la norme NF C 17-200. Cliquez ici pour consulter les prochaines dates de formation sur la norme.